MONNAIES DE LEGENDES (EMBLEMISTE)

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La légende de Gortys

Les monnaies grecques de Gortyna, Crète, et provinciales romaines du Koinon de Crète, des liens ci-dessous,  portent sur les avers la tête de Zeus (ou de Minos) à droite ou à gauche, la tête ou buste de Trajan à droite ou à gauche, et d’Hadrien à droite, et, sur les revers, le héros Gortys, soit nu debout à droite ou à gauche, tourné de face, tenant de la main droite un bouclier et de la gauche une javeline transversale, soit assis sur une falaise à gauche, soit marchant à gauche, casqué et tenant une lance et un bouclier, soit à cheval à gauche.

http://www.acsearch.info/search.html?term=Gortys&category=1&en=1&de=1&fr=1&it=1&es=1&ot=1&images=1&currency=usd&thesaurus=1&order=0&company=

http://rpc.ashmus.ox.ac.uk/search/quick/?q=Gortys&search=

 Selon la mythologie, Europa   , fille du roi de Tyr   , fut enlevée par Zeus, qui se transforma en taureau blanc pour la séduire    et l’emporta sur son dos en Crète. À Gortyne, sous un platane qui depuis lors est toujours vert, ils engendrèrent Minos, Rhadamanthe (roi de Phaïstos) et Sarpédon (voir les posts Nº 20, La legende de l’enlèvement d’Europa, Nº 170, La legende de Minos, et Nº 91, La légende de Sarpédon, dans cette série).  

D’après la tradition crétoise, la ville de Gortyna aurait été fondée par Gortys, un fils de Rhadamanthe. D’après une version arcadienne, Gortys serait le fils de Tegeates et de Maera, de Tegea, dans la Gortyna arcadienne.  

 La cité de Gortys, connue aussi comme Gortyn ou Gortyna, est une des plus importantes villes de Crète, avec une histoire ininterrompue de 6.000 ans, et un des sites archéologiques plus étendus de la Grèce, situé dans la partie centrale sud de l’île, dans la plaine fertile de Messara, près du village d’Agioi Deka, et traversée par la rivière Lithaios, appelé aujourd’hui Mitropolianos, qui domine la vallée de Messara. Elle est mentionnée par Homère à la fois dans le catalogue des vaisseaux de l’Iliade et dans L’Odyssée. Les fouilles archéologiques attestent d'une occupation humaine très ancienne. Le site fut occupé dès le Néolithique, probablement entre -4000 et -3500 avant notre ère. De la céramique néolithique a été trouvée sur la colline où plus tard fut édifiée l'acropole. Plus tard, à l'époque minoenne, un village, sans doute prospère, s'épanouit sur le site jusqu'à une époque assez tardive. Le noyau de la future cité de Gortyne se mit en place à l'époque entre le XIe et le VIIIe siècles av. J.-C.  autour de l'acropole fortifiée. Jusqu'au VIe siècle av. J.-C. environ, la ville s'organisa autour d'un temple d'Athéna Poliouchos,    sanctuaire officiel de la ville.

Elle fut une cité d'importance dès le VIIe siècle av. J.-C. Elle ruina la cité de Phaïstos au IVe siècla av. J.-C. et rivalisa avec la cité voisine de Cnossos. Strabon décrit dans ses récits    une cité de taille très importante, puisqu'il estime les murs qui l'entourent à 50 stades. À l'époque hélénistique, elle fut fortifiée à neuf par Ptolémée IV. Sous la domination romaine, elle fut la capitale de la province de Crète et de la Cyrénaïque et atteint le sommet de sa gloire. On croit que la population de l’ancienne Gortyna était de 300.000 habitants. Gortyna fut la première ville de Crète qui accepta le christianisme. En 828 de notre ère elle fut occupée et détruite par les Maures   . Depuis lors elle ne fut jamais habitée de nouveau.  

Voici quelques liens sur ce sujet :

http://www.mythindex.com/greek-mythology/G/Gortys.html (en anglais)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gortyne

http://www.explorecrete.com/archaeology/gortys.html  (en anglais)

http://www.interkriti.org/crete/iraklion/gortyn.html  (en anglais)

Emblemiste ....!!!

Très instructif, merci.

et en lisant les articles des liens, je découvre que Knossos n'était pas la capitale de la Crète.

BRUTUS et PYL !

à toi pour ces savoureux petits bonbons culturels

à toi aussi pour le compliment probus53.

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La légende d’Alabandos

La monnaie grecque du lien ci-dessous, d’Alabanda (Asie), porte sur l’avers le buste d’Apollon à droite, et, sur le revers, le héros Alabandos nu, debout de face, tête à gauche, tenant derrière lui un cheval debout à gauche.

http://rpc.ashmus.ox.ac.uk/search/icono/?search&format=abbr&design_group=2&provinces=any&design-0=389

Selon la légende, Alabandos fut un héros carien, fils d’Euippus et Calirrhoë, qui les habitants d’Alabanda vénéraient          comme le fondateur de cette ville grecque. En carien, le nom Alabandos est composé de ala, pour cheval, et de banda pour victoire   .

Alabanda, ou Antioche des Chrysaoriens, était une ville de l’Asie mineure dont le site est à moins de 8 km à l’ouest de la ville de Çine, dans la province de Aydin, en Turquie actuelle.

Située en Carie, au nord-est de Milet, près du fleuve Méandre (voir le post Nº 173, La legende du Méandre, dans cette série), elle était autrefois riche et commerçante. Elle fut construite sur un épaulement entre deux collines. La zone est connue pour son marbre noir et ses pierres ressemblant au grenat.

Au début de l’époque hellénistique, la cité appartenait au royaume séleucide, au sein de la Ligue Chrysaorienne, une fédération lâche de cités voisines proches ethniquement et liées par des intérêts économiques et militaires. La cité fut renommée Antioche des Chrysaoriens en l’honneur du roi séleucide Antiochos III   , qui protégea la cité. Elle fut prise par Philippe V    de Macédoine em 201 av. J.-C. Elle fut renommée Alabanda après la défaite des Séleucides à la bataille de Magnésie en 190 av. J.-C.

L’Empire romain fit ensuite la conquête de la ville             . En 40 av. J.-C., le rebelled Labiénus    prit la ville à la tête d’une armée parthe. La garnison parthe fut massacrée par les habitants    , ce qui provoqua en retour le pillage de tous les trésors de la ville.

Sous l’Empire romain, la ville devint un petit centre administratif (conventus juridici, frappait de sa propre monnaie jusqu’au milieu du IIIe siècle) ; Strabon    rapporte sa réputation de richesse et de décadence morale   .

Voici des liens pour ces sujets :

http://www.mythindex.com/greek-mythology/A/Alabandus.html

https://fr.wikipedia.org/wiki/Alabanda

Merci pour cette nouvelle histoire Emblemiste ....!!

Dommage que ce site antique soit depuis à l'abandons.....!!

à toi BRUTUS !

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La légende de Dardanos

La monnaie provinciale romaine du lien ci-dessous, d’Ilion (Asie), porte sur l’avers le buste de Crispina à droite et, sur le revers, Dardanos nu, assis à gauche, tenant la chlamyde et un sceptre, ayant devant une jeune figure feminine (Batia?) debout  tournée vers lui, tenant dans sa main un objet uncertain (rameau, herbe).

http://rpc.ashmus.ox.ac.uk/search/icono/?provinces=any&stype=icono&design_group=2&design-0=349&step=3&next=Finish

D’après la legende grecque, Dardanos était le fils de Zeus et de la Pléiade Electre, fille d’Atlas. Il fut né en Hespérie, à l'ouest, du côté du couchant. On le fait naître aussi à Samothrace ou en Arcadie, ou en Crète, ou même en Troade. Il est l’ancêtre mythique des Troyens et, à travers eux, des Romains.

Dardanos fut premièrement marié à Chryse, fille de Pallas, en Arcadie, qui lui donna deux fils, Idaeus et Deimas. Ces fils regnèrent quelque temps sur le royaume d’Atlas, en Arcadie, mais alors ils se séparèrent à cause du grand déluge de Deucalion (voir le post Nº 362, La légende de Deucalion et Pyrrha, dans cette série) et des calamités qui en resultèrent. Deimas resta en Arcadie, tandis qu’Idaeus émigra avec son père Dardanos. Ce déplacement est aussi attribué a un châtiment infligé par Zeus (Jupiter)    à la famille, le frère de Dardanos, Iasion, ayant cherché à séduire Déméter (Cérès)   .

Ils arrivèrent premièrement à Samothrace, qui dorénavant fut appelée Dardania. Après y avoir établi une colonie, ils allèrent en Phrygie. Après la mort de Chryse, le roi Teucer    offrit à Dardanos la main de sa fille Batia    et une partie de son territoire. Il y construisit au flanc de l'Ida la ville appelée Dardanie. Il hérita par la suite de la totalité du royaume dont les habitants s'appelèrent désormais les Dardaniens. Il eut pour fils Ericthonios (voir e post Nº 28, La legende d’Ericthonius, dans cette série), pour petit-fils Tros et pour arrière-petits-fils Assaracos et Ilos (voir le post Nº 380, La legende d’Ilos, dans cette série). Ce dernier fonda la cité de Troie et l'appela Ilion. Le petit-fils d'Assaracos fut Anchise, père d'Enée    (voir le post Nº 364, La legende d’Enée, dans cette série). Le petit-fils d'Ilos fut Priam    (voir le post Nº 245, La légende de Priam, dans cette série).

Voici des liens sur cette legende :

http://mythologica.fr/grec/dardanos.htm

http://www.mythindex.com/greek-mythology/D/Dardanus.html  (en anglais)

Je ne connaissais pas ce personnage, pourtant un de mes fils !

Merci

IOVI et PYL.

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La légende de Fortuna et Sors


Les monnaies républicaines et impériales romaines des liens ci-dessous portent sur l’avers soit les têtes à droite de Sors (la Destinée) ou de Fortuna (la Fortune), soit les bustes conjugés de Fortuna Victrix et Fortuna Felix à droite, soit les têtes ou bustes à droite d’Octavien, Vespasien, Tite, Domitien, Nerva, Trajan, Hadrien, Antonin le Pieux, Dide Julien, Caracalla, Gordien III,  Postume, Probus et Uranius Antoninus, et, sur le revers, soit un caducée, soit un vase à sacrifice et une torche allumée, soit un autel, soit le buste de face de Sors, soit Fortuna debout ou assise à gauche sur un throne, tenant une corne d’abondance dans sa main gauche et un gouvernail, une proue ou une fleur dans sa main droite et une roue à son côté, soit Fortuna assise à gauche dans un temple.    

https://www.acsearch.info/search.html?id=758452

https://www.acsearch.info/search.html?id=1194293

https://www.acsearch.info/search.html?id=200359

https://www.acsearch.info/search.html?id=1757472

https://www.acsearch.info/search.html?id=713266

https://www.acsearch.info/search.html?id=1834697  

https://www.acsearch.info/search.html?id=1671892

https://www.acsearch.info/search.html?id=2176412

https://www.acsearch.info/search.html?id=1671893

https://www.acsearch.info/search.html?id=2232721

https://www.acsearch.info/search.html?id=1592064

https://www.acsearch.info/search.html?id=1757519

https://www.acsearch.info/search.html?id=1896656

https://www.acsearch.info/search.html?id=2176415

https://www.acsearch.info/search.html?id=977987  

https://www.acsearch.info/search.html?id=1757529

https://www.acsearch.info/search.html?id=2434173

https://www.acsearch.info/search.html?id=608891

https://www.acsearch.info/search.html?id=1645449

https://www.acsearch.info/search.html?id=2664118

 Fortuna (la Fortune) est une divinité italique allégorique du hasard, de la chance. Son nom dérive du latin fors qui signifie « sort ». Elle était peut-être à l'origine « porteuse » de fertilité (lat. ferre, porter). Hésiode la fait naître d'Océan et de Téthys, mais selon Pindare, c'est Jupiter et l'une des Parques qui lui auraient donné le jour. Elle n'était pas une des divinités les plus anciennes, car elle n'avait pas de flamine.  

Fors fortuna représente le destin avec toutes ses inconnues    . Son nom dérive de fero (porter, apporter). Dès la plus haute antiquité, elle était vénérée dans plusieurs provinces italiques       , mais son culte le plus important se célébrait à Préneste dans le Latium, où un certain Numerius Suffustus, en creusant un rocher, avait découvert des « sortes » (tablettes) en chêne, sur lesquelles se trouvaient inscrites des formules mystérieuses qui servaient à rendre des oracles.  

À Préneste, Fortuna était appelée Primigenia, primordiale (de Jupiter) et, par une inconséquence qui n'est point rare dans l'histoire des anciens mythes, elle était considérée tout à la fois comme la fille et la nourrice de Jupiter.  

Fortuna Primigenia fut introduite à Rome en 204 av. J.-C., à la fin de la deuxième guerre punique. Mais les Romains possédaient déjà une Fortuna, qu'ils disaient avoir favorisé l'étonnante ascension politique de Servius Tullius, l'esclave devenu roi     . Une légende faisait de Servius Tullius le fils de Fortuna ; une autre en faisait son amant    : la déesse, pour le visiter, se serait glissée, pendant la nuit, par une lucarne. La Porta Fenestella, à Rome, rappelait ce souvenir.

Fortuna était honorée sous de nombreux vocables. À Rome, elle portait le nom de Fortuna publica populi romani. Sous le nom de Fortuna Muliebris, protectrice des matrones univirae (mariées une seule fois), avait decidé Coriolan    à lever le siège de Rome sur les instances de sa mère et des femmes romaines.

Les citoyens qu'une chance ou un malheur notoire illustrait possédaient une Fortuna. Une statuette en or de Fortuna ne devait point quitter la chambre à coucher des empereurs.

On prétendait que son culte avait été introduit à Rome par Servius Tullius. Les Romains s'adressaient à elle au moyen d'une grande variété d'épithètes exprimant soit des aspects de ses faveurs, soit les catégories de personnes auxquelles elle accordait celles-ci :

Fortuna Annonaria apportait la bon e chance aux moissons
Fortuna Belli la fortune de la guerre
Fortuna Primigenia dirigeait le fortune d'un enfant aîné au moment de sa naissance
Fortuna Virilis, célébrée seulement par les femmes
Fortuna Redux conduisait les gens en sécurité chez eux
Fortuna Respiciens la fortune du fournisseur
Fortuna Muliebris la bonne chance d'une femme.
Fortuna Victrix apportait la victoire en bataille
Fortuna Augusta la fortune de l'empereurt
Fortuna Balnearis la fortune des bains.
Fortuna Conservatrix la fortune du the fortune du Protecteur
Fortuna Equestris la fortune des Chevaliers
Fortuna Huiusce Diei la fortune du jour présent
Fortuna Obsequens fortune de l'indulgence
Fortuna Privata la fortune de l'individu privé
Fortuna Publica la fortune du peuple
Fortuna Romana la fortune de Rome
Fortuna Virgo la fortune de la vierge.

À Rome, elle avait plusieurs temples, sur le Palatin, au Forum Boarium où l'on a découvert les vestiges d'un temple dans l'aire de Sant’Omobono, et dans le Largo di Torre Argentina. Elle demandait aux hommes de couvrir ses statues d'un voile épais pour symboliser le hasard aveugle.  

Sa fête était célébrée le 24 juin à Rome. C'était une fête populaire à laquelle une foule nombreuse assistait, et parmi elle un grand nombre d'esclaves.              L'autel était situé près du Tibre, à environ 2 km en aval de la cité.

De son côté, Sors est une divinité mineure de la bonne chance, supposée fils ou fille de Fortuna, rarement cvitée dans la mythologie romaine.  

Voici des liens pour plus de renseignements sur ces divinités :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fortuna_(mythologie)

https://en.wikipedia.org/wiki/Sors  (em anglais)

La fortune manquait à la collection de légende !

Bonjour Emblémiste,

Je n'ai pas eu encore l'occasion de le dire, merci pour tous ces passionnants articles!  

La représentation de Sors sur le denier Plaetoria RRC 405/2 me laisse
Pourquoi le ou la représenter la tête inclinée et portant une tablette???

Du coté des républicaines, il existe sur le denier Marc Antoine RRC 494/32 une représentation de Fortune portant de la main droite une Victoriola et sur le denier Sicinia RRC 440/1, on trouve sur le droit le buste de Fortuna Populus Romanus.  

 et  

Christophe. à toi aussi Dioscuri pour ton aimable commentaire. Je ne saurait répondre avec sécurité à ta question sur la façon de la représentation de Sors, puisque je ne m'oriente que pour les renseignements laconiques des fiches, mais je crois que la tablette n'est que la base du buste pour identifier clairement la divinité dont il s'agit. Peut-être c'est une réproduction d'une statue cultuelle, mais les données que j'ai trouvé sur Sors sont très peux. Quant à Fortuna, j'ai donné les liens pour celles que j'ai trouvé sur acsearch. Il y a certainement beaucoup d'autres.  

La Fortune dans le monnayage romain est un thème à elle toute seule.
Quel empereur ne l'a pas invoqué ? (ceux qui n'ont pas eu le temps)

Emblémiste ...!!!

Que la fortune te sourit ...!!!

bcp BRUTUS !

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La légende de l’ hippocampe


Les monnaies grecques et impériales romaines des liens ci-dessous, de Bruttium  (Les Bruttiens),  Arados, Byblos et Tyre (Phénicie), Syracuse (Sicile), Tarente (Calabre), Larissa Kremaste (Thessalie), Tarse (Cilicie), Samarie et Rome, portent sur leurs avers soit un triton, soit un sphinx, soit une galère avec trois hoplites armés et, au dessous, un hippocampe sur un murex, soit Melkart chevauchant un hippocampe,  soit la tête d’Athéna, soit Taras chevauchant un hippocampe  soit la tête d’Achille, soit le protomé d’un hippocampe, soit la tête de Poséidon, d’un satrape ou de Gallien, et, sur les revers,  soit un hippocampe, soit une louve attaquant un taureau, soit une chouette, soit Thétis  assise sur un hippocampe et portant le bouclier d’Achille ou un petit Éros.

https://www.acsearch.info/search.html?id=1589370

https://www.acsearch.info/search.html?id=453590

https://www.acsearch.info/search.html?id=839687

https://www.acsearch.info/search.html?id=973046

https://www.acsearch.info/search.html?id=1000069

https://www.acsearch.info/search.html?id=972881

https://www.acsearch.info/search.html?id=1040060

https://www.acsearch.info/search.html?id=1305481

https://www.acsearch.info/search.html?id=1589259

https://www.acsearch.info/search.html?id=1872797

https://www.acsearch.info/search.html?id=2414855

https://www.acsearch.info/search.html?id=502718

https://www.acsearch.info/search.html?id=2472036

https://www.acsearch.info/search.html?id=95759

 Les hippocampes étaient les chevaux marins mythologiques à queue de poisson. Ils étaient dépeints comme des créatures composites à la tête et protomés de cheval et la queue bouclée d’un poisson.

Les antiques croyaient qu’ils étaient la forme adulte d’un petit poisson qu’on appelle “ cheval de mer ”.

Les hippokampoi étaient les montures des Néréides, les nymphes de la mer, et des divinités marines, et Poséidon se transportait par la mer sur un char tiré par deux ou quatre de ces animaux rapides.

Voir aussi, en cette série, les posts N.º 41, La légende du bouclier d’Achille, N.º 48, La légende de Taras ou Phalantos, N.º 52, La légende du sphinx, N.º 336, La légende du triton, N.º 503, La légende de Cupidon (Amour, Eros) et N.º 551, La légende de Thétis.

Pour plus de renseignements, voir les liens suivants, en anglais :

http://www.theoi.com/Ther/Hippokampoi.html

http://www.mythindex.com/greek-mythology/H/Hippocampus.html

Emblemiste ....!!

Emblemiste

bcp BRUTUS et Bruno pour votre encouragement !

mais c'elle ci n'est pas un hippocampe

https://www.acsearch.info/search.html?id=2414855