Numismates du Grand Ouest

c'est drôle, complètement par hasard je suis tombé sur un intéressant article du bulletin de la Société préhistorique de France datant de 1961 et qui traite de cette monnaie :

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bspf_0249-7638_1961_num_58_5_3754

très intéressant, merci

Si il y a du brestois sur le forum, je crois que justement, cette semaine on parlait justement de cette fameuse monnaie dans le journal brestois (7 jours à Brest ou l'autre)

j'habite pas loin, mais je ne connais pas le nom de l'autre journal ...
sur le site de "7 jours à Brest" je n'ai rien trouvé.

Sinon, j'ai trouvé ça sur Persée :
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/abpo_0003-391x_1961_num_68_1_2119

Brennos a écrit:

c'est drôle, complètement par hasard je suis tombé sur un intéressant article du bulletin de la Société préhistorique de France datant de 1961 et qui traite de cette monnaie :

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bspf_0249-7638_1961_num_58_5_3754

PYL a écrit:

j'habite pas loin, mais je ne connais pas le nom de l'autre journal ...
sur le site de "7 jours à Brest" je n'ai rien trouvé.

Sinon, j'ai trouvé ça sur Persée :
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/abpo_0003-391x_1961_num_68_1_2119

Merci bien pour ces 2 intéressants articles. On comprend bien les circonstances de la découverte.

Bonjour,

merci pour ces liens !!

chikili

J'ai retrouvé,bon c'est du très petit article^^, mais c'était la coïncidence que je voulais souligner :p :

Le Télégramme du 2 septembre 2015

Plélauff.

Camina. Belle rencontre numismatique

Citation :

Dimanche, l'association Osané proposait pour la seconde année consécutive, une rencontre numismatique au sein du centre de loisirs Canima. Yannick Roszak, son responsable, était heureux de l'importante participation tant du public que des exposants. « Cette année, le rendez-vous a attiré des spécialistes de toute la France. Nous avons des numismates de la Touraine, de Normandie et même du sud de la France. Notre volonté est de faire de ce rendez-vous, un incontournable du dernier dimanche d'août. » Sur place, le public a pu découvrir les pièces de monnaie et des billets anciens. « C'est une passion depuis l'âge de 15 ans. J'avais trouvé des pièces dans la terre en allant à la pêche. La passion m'est venue comme ça », a indiqué Yannick, de Plélauff. Depuis le collectionneur possède plus de 4.000 pièces collectées sur une trentaine d'années. La plus vieille date de l'Antiquité, avec quelques pièces gauloises et jusqu'à nos jours. Échanges et achats furent nombreux tout au long de la journée.

Yannick de Plélauff, vit sa passion des pièces anciennes depuis l'âge de 15 ans.

© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/plelauff/camina-belle-rencontre-numismatique-02-09-2015-10758493.php

Merci pour l'article,
C'est toujours lui en vedette c'est dingue ça ... Il y a un Yannick de trop à Plélauff

ouest france

Le Télégramme

bonjour,

c'était une superbe rencontre numismatique !!!
et quelques romaines de plus dans les plateaux

Oui c'était très bien.
Toutes les époques étaient bien représentés.

Le Télégramme du 24 octobre 2015.

Numismates. Ils ne sont pas aux pièces...

http://www.letelegramme.fr/morbihan/hennebont/numismates-ils-ne-sont-pas-aux-pieces-24-10-2015-10824734.php

Citation :

Les collectionneurs de monnaies anciennes ou rares du pays de Lorient se réunissent le troisième dimanche de chaque mois, à la maison des associations. « Seul club de l'Ouest » d'après ses membres, si on excepte Rennes « bien plus à l'Est » et Nantes dont nous ne discuterons pas de la localisation géographique. La vingtaine d'adhérents se rencontre, mais reçoit aussi tous ceux qui souhaitent découvrir leurs collections ou en savoir plus sur cette passion, qui, bien souvent peut coûter cher ! Comme tous les clubs numismatiques, la Société numismatique du pays de Lorient est évidemment, aussi, ouverte aux collectionneurs de billets, médailles ou médailles touristiques. Mais à Hennebont, il faut bien avouer que ce sont surtout des collectionneurs de pièces, sonnantes et trébuchantes.
À chacun son centre d'intérêt
Pièces US, Francs, Euros, monnaies antiques, monnaies royales, pièces d'or... Pour la valeur, mais aussi l'esthétique, pour une période plus ou moins longue de l'Histoire ou une commémoration précise, à chacun son centre d'intérêt. Bien qu'il leur arrive parfois d'avoir des contacts entre deux rendez-vous mensuels, les collectionneurs se retrouvent volontiers chaque mois, pour se transmettre des informations, identifier les monnaies, jetons ou médaillons, retracer les parcours et échanger leurs trouvailles. Ils ne manqueraient pas, pour tout l'or du monde, les interclubs, qui leur permettent d'enrichir leurs collections avec d'autres passionnés. D'ailleurs « il est bientôt l'or », comme disait Yves Montand, puisque le prochain Interclubs est prévu demain, à Angers, quatrième club du... Très Grand Ouest. Le déplacement est prévu en covoiturage !

Société numismatique du pays de Lorient
Adhésion 15 € l'année. Contact : M. Boulay, tél. 06.73.90.85.27.

Les numismates du club devant une belle collection de pièces anciennes.
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/hennebont/numismates-ils-ne-sont-pas-aux-pieces-24-10-2015-10824734.php#MpIQd7FdZqBCxfKu.99

Si le Tréport (76) c'est dans l'Ouest au sens large, alors il y a une bourse ce dimanche :) et j'y serai pour faire coucou aux membre de l’association numismatique de st gobain

Exact
Aurais-tu des liens ? Du site du club ? Des articles de journaux ?

Trésor gaulois. 67 pièces vénètes, fruit d'un mécénat

Vannes, le 29 décembre 2015
Le Télégramme

Le Télégramme a écrit:

En 2012, une première opération de mécénat avait permis au musée de la Cohue de financer la restauration de son tableau de Delacroix. Cette année, pour la première fois, c'est une acquisition qui est financée par ce dispositif. En 56 avant Jésus-Christ, un épisode important de la guerre des Gaules se déroule dans la région vannetaise : la défaite des Armoricains, coalition dirigée par Vénètes. Acculés par les légions romaines, les Vénètes fuient vers le nord de l'Armorique, puis jusqu'à Jersey et en Normandie. Sans doute rattrapés, ils cachent leurs richesses tout au long de cet exode. Des « trésors » monétaires qui montrent leur puissance économique.
Pièces d'Ille-et-Vilaine
« Si nous voulons parler à Vannes de la guerre des Gaule, nous n'avons rien à montrer puisque, justement, rien ne reste dans le Morbihan de cet épisode clef de l'histoire locale », explique Christophe Le Pennec, adjoint de conservation au musée d'histoire et d'archéologie. En 2003, la Ville avait donc acquis, à Drouot, huit monnaies vénètes de la collection du poète André Breton. Et c'est cet argument qui a de nouveau été développé auprès de la commission scientifique régionale pour permettre au musée de Vannes d'acquérir cette fois une partie d'un trésor trouvé à Amanlis, en Ille-et-Vilaine. Découvert au XIXe siècle, ce trésor est estimé à 10.000 pièces. Une partie en a été redécouverte au sortir de la Seconde Guerre mondiale par Jean-Baptiste Colbert de Beaulieu, chercheur au CNRS et numismate.
Il a acheté très officiellement 400 pièces, dont 70 pour un ami rennais également passionné par l'étude des monnaies.
Trésor national pour un musée de France
C'est cette partie du trésor qui entre dans les collections au musée. À trois pièces près, pour trois enfants. L'un d'eux, Vannetais et membre de la Société polymathique, a privilégié la valeur scientifique de cet ensemble à la valeur marchande. Estimé à environ 35.000 €, le lot a en effet été négocié à 7.500 €. Un autre acteur est alors entré en jeu : l'antiquaire vannetais Luc de Laval. « Il cherchait une formule de mécénat pour enrichir le patrimoine de la ville tout en bénéficiant de mesures fiscales », explique Christophe Le Pennec. Trois conditions étaient indispensables : que le bénéficiaire soit labellisé Musée de France, que l'objet de la donation soit reconnu « trésor national » par la commission scientifique régionale et soit issu d'une découverte légale. Les trois conditions étant remplies, le mécène a pu acheter les 67 pièces et en faire don au musée. Visibles en partie dans l'exposition « Trésors enfouis », les pièces d'Amanlis seront présentées à partir de mai dans une nouvelle vitrine au premier étage de Château-Gaillard. L'équipe du musée espère qu'après cette première expérience, d'autres entreprises seront sensibles à l'idée de participer à la construction d'un patrimoine commun.
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/vannes/tresor-gaulois-67-pieces-venetes-fruit-d-un-mecenat-29-12-2015-10904318.php#1ZJck4KiTOQP7XRy.99

Le cheval à tête humaine est caractéristique de ces trois monnaies armoricaines. Le sanglier ou la roue à rayon identifie les pièces vénètes.

© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/vannes/tresor-gaulois-67-pieces-venetes-fruit-d-un-mecenat-29-12-2015-10904318.php#1ZJck4KiTOQP7XRy.99

Christian, passionné de monnaies depuis 40 ans

Ouest France - Saint-Hilaire-de-Riez - Publié le 15/04/2016

http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saint-hilaire-de-riez-85270/christian-passionne-de-monnaies-depuis-40-ans-4168451

OUEST FRANCE a écrit:

Portraits de bénévoles. Saint-Hilaire compte une centaine d'associations. Dans le domaine du sport, de la culture, de la solidarité... Nous sommes allés à leur rencontre.

Trois questions à...

Christian Billard, président de l'association numismatique vendéenne depuis 11 ans.

Qu'est-ce que la numismatique ?

Au-delà de la notion de collection, il s'agit d'une science qui s'inscrit dans l'archéologie. 500 ans avant notre ère, Crésus a inventé l'emprunte sur les pièces. En numismatique, on analyse les empruntes mais aussi les formes et les matériaux. Les pièces trouées sont beaucoup plus récentes. Elles ont été créées non pas pour les différencier, mais pour économiser du métal à une époque où l'économie était au plus bas. La numismatique s'intéresse également aux billets qui ont été inventés par les Chinois, bien avant Crésus.

Comment en êtes-vous venu à vous intéresser à la numismatique ?

J'avais une grand-mère qui collectionnait les timbres et les monnaies... J'ai hérité de son esprit collectionneur. Puis, le curé de la paroisse mettait de côté les pièces, hors cours, récupérées lors des quêtes. Il a alors lancé l'idée de créer une association numismatique. Lui n'a pas poursuivi, mais j'ai créé, en 1972, le Club numismatique roannais dont j'ai été secrétaire, vice-président puis président pendant 20 ans. J'ai aussi participé à la rédaction de Monnaie Magazine. Parallèlement, j'ai adhéré à l'association numismatique vendéenne dès sa création, en 1976. J'en ai été le vice-président puis le président, de 2004 jusqu'à l'an dernier. Aujourd'hui, j'ai passé la main à Michèle Barteau.

Pour l'anecdote, tout ceci m'a conduit à être correspondant du Courrier Vendéen depuis une dizaine d'années.

Quelles sont les activités de l'association ?

L'association numismatique vendéenne est la plus importante du département dans ce domaine. Ses quelque 40 membres proviennent du canton et au-delà, dans un rayon d'une cinquantaine de kilomètres. Nous nous réunissons deux fois par mois pour faire part de nos trouvailles, procéder à des échanges, et expertiser des monnaies. Nous disposons pour cela d'une bibliothèque très bien fournie. Nous faisons également des sorties à thème de façon régulière. Par exemple, nous sommes allés à Melle, dans les Deux-Sèvres, pour visiter la mine d'argent exploitée du temps de Charlemagne et pendant quatre siècles. Nous donnons aussi des petites conférences publiques chaque mois.

Nous organisons, chaque 1er dimanche de juillet et de septembre, des bourses à la Baritaudière. Pour l'année en cours, il semble qu'il y ait une difficulté avec la municipalité, mais nous espérons bien qu'elle sera levée d'ici là !

Michèle Barteau, tél. 02 51 55 33 74. Site : http://numisvendee.free.fr.

Christian Billard présente un coffret de pièces de l'époque napoléonienne.

Mayenne. Un repas qui nourrira aussi la curiosité au musée du château

Ouest France - Mayenne - Publié le 20/04/2016

http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/mayenne-53100/mayenne-un-repas-qui-nourrira-aussi-la-curiosite-au-musee-du-chateau-4174865

Ouest France a écrit:

Mardi 26 avril, durant la pause déjeuner, le musée du château de Mayenne organise un repas médiéval autour des monnaies de l’Antiquité et du Moyen Âge.

Mardi midi, le musée du château de Mayenne organise un repas médiéval autour des monnaies de l’Antiquité et du Moyen Âge.

Et si vous profitiez de votre pause déjeuner pour nourrir aussi votre curiosité ? C’est que proposera, mardi, le musée du château, qui organise un repas médiéval autour du thème des monnaies antiques et médiévales. « C’est une découverte à la fois gustative et d’un aspect des collections », explique Mathieu Grandet, directeur du musée.

Cette fois-ci, ce sera Stéphane Hiland, du service du patrimoine de la Ville de Laval et « numismate spécialiste des monnaies antiques » qui interviendra. Ce qui permettra notamment de mieux connaître le trésor de 26 000 pièces romaines qui ont été découvertes au XIXe siècle dans le gué de Saint-Léonard, à Mayenne, dont une partie est exposée au château.

Côté gastronomique, les convives pourront goûter des recettes du Moyen Âge, faites maison. Au menu : saumon en gelée ; lapin accompagné de panais et de courges, « deux légumes typiquement médiévaux » ; pomme cuite aux fruits rouges et cidre.

Mardi 26 avril, à 12 h 15, au musée du château de Mayenne. Tarifs : 12 € ; réduit, 8 €. Réservation obligatoire, au 02 43 00 17 17.

Mathieu Grandet, directeur du musée, à côté d’une partie du trésor de pièces romaines trouvé à Mayenne, en 1864 et en 1865.

Merci PYL de faire la promotion de ma petite intervention de ce mardi

c'est le premier musée ou tu peux regarder les monnaies à 4 pattes

http://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/768/reader/reader.html?t=1466007422909#!preferred/1/package/768/pub/769/page/10



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http://www.lamanchelibre.fr/actualite-186588-saint-lo-collectionner-les-pieces-de-monnaie-pas-que-pour-les-enfants.html

LA MANCHE LIBRE du 22 mai 2016

Citation :

Saint-Lô : collectionner les pièces de monnaie, pas que pour les enfants

Ils se retrouvent un dimanche par mois pour échanger sur leur passion et donner des conseils à qui les demande. Les numismates de Saint-Lô (Manche) étaient réunis ce dimanche 22 mai 2016.

Tous les quatrièmes dimanche de chaque mois, les collectionneurs de pièces de Saint-Lô se retrouvent à l'Office de la vie associative. " Le but est d'échanger entre nous, de partager des information et de nous tenir au courant de l'actualité numismatique", explique Charly Guilmard, président de la section de Saint-Lô (Manche).

Ouvert à tous

La réunion est ouverte à tous et chacun peut venir, pour discuter ou faire estimer des pièces ou des billets détenus chez soi. Les collectionneurs possèdent une expertise forgée sur le terrain, complétée par une bibliothèque importante. Rien ne leur échappe.

Une image négative

La numismatique (la collection des pièces et des médailles) souffre d'une image parfois désuète. "C'est mal connu et le grand public pense souvent que c'est une activité réservée à une élite", regrette Charly Guilmard.

Un colloque et une exposition à venir

Leur prochain colloque se tiendra le 4 juin au musée des Beaux-Arts de Saint-Lô, sur le thème de la frappe de monnaie à Saint-Lô, avec comme invité d'honneur Jérome Jambu, conservateur au cabinet des médailles de la Banque nationale de France. Une exposition des fleurons de leurs collections aura lieu dy 4 au 19 juin.

Une partie des numismates saint-lois

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http://www.ouest-france.fr/normandie/saint-lo-50000/il-etait-une-fois-la-monnaie-frappee-saint-lo-4295623

Ouest France 11/06/2016

Citation :

Il était une fois la monnaie frappée à Saint-Lô
Christophe LECONTE.
Du XIVe au XIIe siècle, Saint-Lô abritait un atelier monétaire important dans le royaume. Une histoire à découvrir et une exposition à voir au musée des Beaux-arts.

Pourquoi ? Comment ?

De quelle époque parle-t-on ?

L'atelier de Saint-Lô a été fondé en 1351, sous le règne de Jean Le Bon, et diffusera sa monnaie dans tout le royaume. Il fut particulièrement actif sous son règne et ceux de Charles VI, Henry V, Charles VII, Louis XI, Henry IV... Et sera mis en sommeil à d'autres époques. Fin de l'histoire en 1693 sous le règne de Louis XIV, date à laquelle Saint-Lô perd son titre de ville monétaire au profit de Caen.

Pourquoi un atelier monétaire royal à Saint-Lô ?

Christophe Maneuvrier, maître de conférences en histoire médiévale à l'Université de Caen, avance trois hypothèses : pour désenclaver Rouen, la capitale normande, difficile d'accès pendant la guerre de Cent Ans, et ainsi créer un atelier plus à l'ouest, parce que Saint-Lô était riche et possédait de nombreux orfèvres ; enfin pour une raison politique. Le roi Jean le Bon aurait choisi Saint-Lô, ville enclavée, pour contrer son gendre, Charles le Mauvais, roi de Navarre et possesseur d'une grande partie de l'actuel département de la Manche. Sans trancher, l'historien estime cette dernière hypothèse comme étant la plus vraisemblable.

Où était situé l'atelier ?

Trois emplacements sont connus, tous dans l'Enclos : rue des Fossés (près de la porte Dollée), le deuxième à l'emplacement actuel de la tour de Beauregard, le troisième au chevet de l'église Notre-Dame. « Il est impossible de connaître le nombre de monnaies frappées à Saint-Lô qui subsistent, tout comme il est impossible de connaître la totalité des pièces émises pour cet atelier », résume Charly Guilmard, président de section de l'Association numismatique du Cotentin. À noter que 63 monnaies sont rassemblées pour l'exposition, au musée.

Quelle est l'histoire du trésor de Saint-Lô ?

En 1986, lors de travaux d'extension d'un magasin, rue Torteron, les ouvriers ont trouvé une cache monétaire du XVIIe siècle, qui recelait 46 louis d'or et 66 écus et demi-écus d'argent, frappés sous le règne de Louis XIII et Louis XIV. Ils provenaient de 19 ateliers différents, dont celui de Saint-Lô. L'abandon de la cachette a été daté vers 1670. Il y a peut-être un lien avec la présence d'une famille protestante rue Torteron. Mais les cachettes étaient « monnaie courante » dans les familles aisées. Pour Charly Guimard, « les découvertes fortuites peuvent toujours arriver lors de travaux. Régulièrement, en France, de nouveaux trésors sont découverts. »

Jusqu'au 19 juin, exposition des monnaies de l'atelier de Saint-Lô (63 monnaies) organisée par les sections de la société d'archéologie et l'Association numismatique. De 10 h à 12 h et de 14 h 30 à 18 h. Gratuit.

Cinq monnaies du XVIe siècle (dont un écu d'or sous Louis XII et un écu d'or sous François Ier) et un quart d'écu de 1607. | Section de Saint-Lô de l'Association numismatique du Cotentin

👍

Bonjour,
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