Très original en effet. Rien dans le Bastien qui s’en rapproche vraiment, à classer faute de mieux dans les « imitations diverses». Il n’est pas exclu qu’il s’agisse d’une production tardive de l’atelier II d’un graveur non identifié, mais il est plus probable qu’il ait été frappé dans un des ateliers de faussaires, peu nombreux d’après Hollard, mais assez actifs (38% des bronzes de Postume du dépôt de Méricourt par exemple ), qui prennent le relai de Chateaubleau dès le début de 267 pour les derniers bronzes émis, amenés à disparaître totalement de la circulation en 270.